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Rentrée littéraire 2018 des Editions Héloïse d’Ormesson

 

Lundi dernier, le 2 juillet , c’était le début de la fin d’année scolaire . C’était surtout une splendide journée, une merveilleuse soirée. C’était la présentation de la rentrée littéraire 2018 aux Editions Héloïse d’Ormesson.

Ceux qui me suivent sur ce blog (et maintenant les autres) savent combien cette maison d’édition m’est chère et combien je l’aime , tant pour son équipe que pour la qualité de ses publications. Semper fidelis, j’ai eu la chance d’assister à ce moment émouvant et comme le bonheur ne vaut que s’il est partagé, je viens vous en toucher deux mots.  Je ne divulgâcherai rien , bien entendu , du contenu profond des trois romans présentés, mais je peux vous dire d’ores et déjà que cette nouvelle rentrée sera belle, belle, belle !

Je vous reparlerai avec plus de précisions le moment venu, de chaque livre, mais comme je suis gentille, je vous tout de même le faire succinctement (c’est cruel, je sais,  mais je ne suis pas parfaite !), manière de vous mettre l’eau à la bouche, avec l’espoir que vous saurez les aimer vous aussi.

Cette année donc, trois pépites sont à paraître. Deux françaises (dont un premier roman), et un néerlandaise.

-          Bernard CHENEZ : « Les mains dans les poches » : une histoire touchante (celle d’une génération ) ,  un auteur qui l’est tout autant. Une chronique sociétale, une écriture subtile et pudique.   Un texte profond, émouvant, qui ne peut laisser le lecteur insensible. Parution le 16 août.

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-          Alain JASPARD : « Pleurer les rivières ».  Le titre évoquera peut-être quelque chose à certains d’entre vous…  C’est un premier roman, une comédie sur fond de drame social…  Antinomique ne direz-vous !   Je vous répondrai :  lisez-le !  Vous découvrirez une plume incisive, intimiste.  Vous découvrirez comment l’auteur a pu faire quelque chose de fort et beau à partir de ce qui est, à priori, une atrocité. Parution le 23 août.

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-          Stefan  BRIJS : « Taxi Curaçao » (traduit du néerlandais par Daniel Cumin).  A travers le portrait de l’île de Curaçao , pays meurtri par la colonisation, l’auteur brosse une chronique sur trois générations, uppercut dénonciateur d’une société apparemment implacable, et dans laquelle il est difficile de ne pas se soumettre au chemin tracé par une condition sociale quasiment génétique. Un texte d’une puissance richement déconcertante, à découvrir dès le 23 août.

La soirée a été rythmée par la musique, la lecture d’extraits des livres par leurs auteurs, et le jeu exceptionnel de deux grands acteurs présents : Marie Denarnaud et Vincent Jaspard.

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Que vous dire d’autre si ce n’est de découvrir ces trois romans qui le méritent tant, cette maison d’édition qui est une mine de diamants ? 

Merci  à Héloïse d’Ormesson, à toute l’équipe (féminine et masculine) pour ce merveilleux et inoubliable moment,  pour les mots, pour la musique, pour la douceur de l’instant, pour le champagne et les petits fours, pour l’accueil si familial, pour ce lieu magique, pour la gentillesse permanente, pour l’excellence chaque année renouvelée.   Rendez-vous bientôt (enfin pas trop tôt, car je pars sous peu en vacances) pour les chroniques !

© Nath

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