6 novembre 2016
Les mots de Christian Bobin
Dans le moulin de ma solitude, vous entriez comme l'aurore, vous avanciez comme le feu. Vous alliez dans mon âme comme un fleuve en crue. Et vos rives inondaient toutes mes terres. Quand je rentrais en moi, je n'y retrouverais rien : là où tout était...